Je n’avais jamais entendu parler de la méthode BISOU jusqu’à récemment. Et vous ?
J’ai trouvé cet article, plutôt facile à comprendre, sans grand défi linguistique (et auquel j’ai dû apporter quelques corrections), mais qui explique simplement ce qu’est la méthode BISOU, que pour ma part, j’aimerais essayer d’appliquer à ma vie quotidienne.
Cette semaine, j’ai choisi un article sur un thème qui, sans me laisser indifférente, ne me touche pas autant que certains articles que je décide de partager d’habitude. Il n’y est pas question de sexisme ou d’autres discriminations, ni de langage, mais d’environnement. J’essaie d’être plus consciente de mon impact sur l’environnement et j’admire énormément Greta Thunberg, mais je dois reconnaitre que j’aime trop voyager et que je ne suis pas prête à arrêter totalement de prendre l’avion.
L’article m’a cependant interpelée car même si je ne suis jamais allée à Venise et n’en ai pas forcément ni l’envie ni l’intention, je trouve cette information plutôt flippante (l’article complet est ici). Cela fait des années que j’entends dire qu’un jour Venise sera sous l’eau. Je ne me suis jamais vraiment intéressée aux mesures mises en place pour empêcher une catastrophe, mais selon l’article, il semblerait que les gens supposés protéger la ville n’aient pas pris la menace très au sérieux…
Vous pouvez analyser ce texte comme bon vous semble ou à partir de mes choix : j’ai mis en gras et en vert le vocabulaire spécifique à la situation, en gras et en bleu des structures facilement réutilisables dans d’autres contextes, en gras et en rouge des formes verbales, dont plusieurs qui illustrent la concordance des temps, j’ai surligné en bleu des connecteurs logiques et en jaune des pronoms. J’ai souligné du vocabulaire à observer (observez bien les combinaisons de mots) et j’ai mis en gras presque tout une phrase. Comment comprenez-vous cette phrase ? 🤔